M. Mitesh Joshi était d’avis que chaque résident devrait avoir un Tiranga (le drapeau indien) chez lui et devrait être bien informé au sujet du drapeau. Avec quelques-uns de ses amis, Sandeep, Khalid, Vijay, ainsi que son entraîneur, Mitesh a monté un projet nommé « I love my Tiranga », qui s’est ensuite appelé « Run for Tiranga ». Tout a commencé en 2012, quand ils ont distribué 40 000 Tirangas et éduqué les gens au sujet du drapeau. De nombreuses institutions religieuses ont hissé le drapeau et les ont soutenu dans leur cause. Ils ont également reçu des encouragements du Swaminarayan Trust, que l’on retrouve dans le monde entier. Plus tard, plus de 80 000 personnes ont été sensibilisées à l’importance du Tiranga. Ils ont également été mentionnés dans différents médias qui ont relayé leur message avec succès dans tout le pays.
M. Joshi a également mentionné qu’il s’agissait de changer les choses dans la vie de nombreux Indiens. Son équipe a décidé de s’engager pour cette cause réelle et ils ont été soutenus par de nombreux groupes sociaux, ainsi que par des hommes politiques. Son coéquipier – Khalid, ainsi que 5 autres personnes – ont parcouru 1900 km en courant entre la Porte de l’Inde de Bombay et la Porte de l’Inde de New Delhi et ont remis le drapeau au premier ministre. Les ministres principaux de quatre états différents ont participé aux côtés de M. Narendra Modi.
Après la course, ils ont réalisé que les Indiens étaient passionnés par leur pays et qu’ils lui expriment gratitude et respect. Pour finir, les membres de l’équipe ont dit que le programme d’Expression de soi et de Leadership de Landmark Forum a été l’une des plus grandes motivations pour mener à bien ce projet. Ils ont prévu de créer plusieurs courses à travers le pays. Actuellement, ils font un travail de sensibilisation dans l’état du Gujarat, en Inde.
Un programme de radio à Perth, en Australie, a récemment souligné le travail effectué par un groupe de personnes, dont un chef australien talentueux, pour nourrir des personnes dans le besoin, en utilisant des aliments encore bons mais qui sont habituellement jetés.
Sophie Budd, qui dirige sa propre école de cuisine, a créé « Make 100 Hampton Road Home » dans le cadre de son projet du programme d’Landmark Forum. Budd a travaillé avec 100 Hampton Road, avec des foyers de plus de 190 résidents dans le besoin, pour leur cuisiner des repas, et transformer des boîtes de nourriture rescapée en de la soupe, de la salade, de la salade de fruits, du chili et d’autres types de repas, qui sont ensuite fournis à 72 œuvres caritatives de Perth pour les personnes dans le besoin.
Budd a entrepris d’initier les habitants de Hampton Roads à la cuisine, de trouver plus de nourriture, et de faire tout ce qui est en son pouvoir pour faciliter l’accès à ces repas. Pour contribuer, contactez Budd à l’adresse cook@tastebudds.com.au.
Dans le cadre de sa participation au Landmark Forum Programme d’Expression de Soi et de Leadership, Sahar McArthur a créé un programme d’ateliers pour les femmes perdant leurs cheveux, généralement des suites d’une chimiothérapie, pour qu’elles créent leurs propres chapeaux. McArthur est convaincue que chaque personne de ce monde est connectée à sa propre beauté, et que cette beauté se révèle par le biais du non-conformisme. Regardez la vidéo ci-dessous pour en savoir plus sur ce qu’elle a créé.
Cela a commencé comme un projet exceptionnel. Lorsque Bobbi Paidel a voyagé dans le nord de l’Inde en 2014, elle a vu énormément d’enfants qui avaient besoin d’aide. Bobbi a lancé une campagne de crowdfunding afin de récolter 5000 $ pour un projet unique, en collaboration avec des orphelinats locaux pour offrir aux enfants des vêtements d’hiver. Le concept était simple; dons = cadeaux pour les enfants ET cadeaux pour vous. Avec des dons faits à la main en provenance d’Inde, foulards, bijoux et sacs, Phil Haley a voyagé en Inde et est arrivé à la fin du premier projet de Bobbi. Quand il est arrivé dans l’Himalaya où travaillait Bobbi, Phil a passé un jour à travailler sur le projet qui allait changer le cours de sa vie.
Bobbi a transformé ce projet unique en un effort continu en créant une organisation à but non lucratif, et en vendant des foulards et des bijoux pour financer des projets futurs. Phil s’est immédiatement porté volontaire et est devenu le directeur du marketing du groupe. Peu après, Bobbi a parlé à son ami d’enfance Dani Shaw, qui avait une entreprise et de l’expérience en comptabilité. Dani a rejoint le navire, a ouvert les comptes de Tribe, enregistré l’organisation en tant qu’entité officielle au Canada et a officiellement donné sa notoriété à Tribe of Lambs.
En Janvier 2015, les trois acolytes ont créé un plan d’affaires et de marketing qui a commencé avec l’obtention d’un prêt de 15000 $ à faible taux d’intérêt. Tribe a acheté des bijoux, a créé une boutique en ligne, a ouvert un blog suivi par des gens tout aussi attentionnés, partageant une vision similaire, et a commencé à vendre des bijoux pour financer des projets de compassion. À partir du projet initial de vêtements d’hiver, Tribe a établi un partenariat avec une organisation de soins de santé, Gramiksha, pour initier et de terminer des projets en cours dans toute l’Inde.
Une partie cruciale de la Tribe of Lambs est que chaque étape de la production de bijoux et de vêtements se fait de manière éthique, avec une vraie transparence du début à la fin – sans exploitation, avec une rémunération équitable et de bonnes conditions de travail.
Tribe of Lambs a franchi un cap en 2016, lorsque l’organisation a décidé de ne plus travailler en passant d’un projet à un autre mais de se concentrer sur des orphelinats accueillant des enfants séropositifs. Plus ils firent de recherches, plus ils réalisèrent que le VIH/SIDA était un sujet tabou en Inde. Les parents renient et abandonnent les enfants quand ils découvrent qu’ils sont séropositifs, ils les déposent dans des orphelinats, et c’est encore plus triste lorsque les parents ne se rendent pas compte qu’ils ont le VIH eux-mêmes, laissant toute leur famille non-traitée et vulnérable.
En outre, aucun orphelinat géré par le gouvernement n’accepte les enfants séropositifs, et si un enfant est testé et s’avère avoir le VIH, il est mis à la rue. Les enfants (et adultes) séropositifs sont des parias dans la société indienne, écartés par leurs communautés.
Tribe of Lambs a commencé à travailler avec Rays Home for HIV Positive Children, situé à Jaipur. Quand ils ont commencé leur partenariat, Rays avait du mal à joindre les deux bouts et à payer ses factures, son loyer, les salaires du personnel, les médicaments pour les enfants, etc. Tribu of Lambs paye dorénavant les frais de scolarité des enfants, afin que Rays puisse payer ses factures et étendre sa capacité, ce qui est essentiel si Rays souhaite avoir un impact majeur sur la majorité des 2500 enfants séropositifs de Jaipur.
Dans les faits, ils souhaitent étendre leur portée, servir de plus en plus d’enfants, devenir autonomes, et finir par employer plus de personnes pour mieux éduquer la population sur le VIH. Leur objectif est de construire des coopératives où les hommes et les femmes séropositifs travaillent dans des foyers et des usines dédiés aux porteurs du VIH pour fabriquer des bijoux. Tribe of Lambs reverse les recettes des ventes aux enfants séropositifs, qui deviennent ensuite des ambassadeurs montrant comment les personnes séropositives peuvent réussir dans la société indienne.
C’est alors que Bobbi et Dani ont terminé leur cours avancé de Landmark Forum en décembre 2015, et que Phil a participé au Landmark Forum en mars 2016 que cette vision d’ensemble a sauté aux yeux de Tribe. Une fois diplômés de Landmark, le groupe a commencé à travailler ensemble de manière encore plus efficace, à se serrer les coudes, a avoir de l’intégrité dans tout ce qu’ils entreprenaient, à n’accepter aucune excuse, et à créer une vision encore plus grande pour ce qu’ils pensent être possible.
L’autonomie complète des coopératives qui fabriquent les bijoux pour financer les foyers pour enfants séropositifs est le but ultime, accompagné d’une campagne de sensibilisation et d’éducation du public quant au problème du sida en Inde.
À l’heure actuelle, les enfants séropositifs finissent souvent par voler, transmettre le virus du VIH/SIDA à d’autres par le biais de la prostitution, ou tout simplement mourir. Du fait d’un manque d’éducation et de la peur de la société indienne au sujet du VIH/SIDA, beaucoup de gens pensent qu’il s’agit d’une maladie qui peut se transmettre par l’air, par le toucher, en buvant dans un même verre, en s’embrassant, etc.
De ce fait, dans de nombreux endroits, les personnes séropositives ne sont pas autorisées dans les parcs, dans les bus, dans les magasins. Ils sont simplement rejetés, ignorés et craints. En réduisant la stigmatisation et en améliorant l’éducation, les gens en Inde peuvent voir que les personnes séropositives peuvent vivre en toute sécurité avec le reste de la société. Cette unité est ce qui caractérise Tribe of Lambs. « Ensemble, nous donnons » est la devise de l’organisation et c’est bien de cela qu’il s’agit : un sentiment d’unité, d’appartenance à une tribu, et d’intégration pour ses trois fondateurs, les clients, les enfants et la société, le monde occidental et l’Inde .
« Nous sommes vraiment tous ensemble dans cette aventure, » déclare Haley.
Pour de plus amples informations ou pour vous impliquez, visitez le site TribeofLambs.com, suivez leur parcours sur Facebook, suivez leur blog sur YouTube et partagez leur histoire. Ensemble, nous donnons.
Par Diane Borgic, Barbara Castleton, Judi Romaine, Brian Keating, Derek Dearden, et le reste de l’équipe de Landmark News.
Landmark a récemment publié un communiqué de presse à propos de son 25 ème anniversaire. Les membres de l’équipe de Landmark News ont travaillé ensemble pour faire des recherches, poser des questions sur Landmark, et donner de nombreux détails concernant l’évolution de Landmark au cours des 25 dernières années. Nous espérons que les lecteurs trouveront cela enrichissant et intéressant.
Plus de 2,4 millions de personnes dans le monde ont participé à des programmes de Landmark, à commencer par le Landmark Forum, et leur vie a été marquée par une productivité accrue, plus de plaisir, des relations de meilleure qualité, plus de confiance, une tranquillité d’esprit et, pour beaucoup, une profonde prise de conscience de leur envie de faire bouger les choses. Les participants de Landmark ont lancé plus de 100 000 projets communautaires, dont beaucoup d’entre eux sont non seulement encore en cours, mais sont couronnés de succès depuis presque trente ans. Parallèlement, la division de conseil d’entreprise de Landmark, Vanto Group, a transformé les opérations de nombreuses sociétés internationales multimilliardaires mais aussi de petites entreprises, de groupes à but non lucratif et d’organismes gouvernementaux.
Landmark célèbre son 25ème anniversaire et son émergence en tant que l’un des principaux fournisseurs mondiaux de programmes de développement personnel et professionnel. Au cours de ces 25 premières années, le développement, la croissance et la reconnaissance de Landmark ont su convaincre même si cela ne semblait pas gagné d’avance.
L’existence même de Landmark était précaire lorsque ses fondateurs ont acheté des actifs et la propriété intellectuelle de Werner Erhard en février 1991. Le bénéfice net de la première année était inférieur à 1000 $.
En regardant les choses sous un angle nouveau, l’organisation a présenté une nouvelle série de programmes appelée Curriculum for Living, composée de Landmark Forum et de trois autres cours. La série a été conçue pour inciter et guider les gens dans la création et la mise en œuvre d’un nouvel avenir pour eux-mêmes et pour leurs communautés, et cela a propulsé l’évolution de Landmark.
Cinq Forums Landmark ont eu lieu dans la réserve de Pine Ridge dans le Dakota du Sud.
Entre 1992 et 1998 l’entreprise a grandi rapidement. Le Landmark Forum a ouvert ses portes pour la première fois en Inde, au Mexique, au Kenya, en Ouganda, en Afrique du Sud, au Zimbabwe, en France, au Danemark, aux Pays-Bas, en Irlande, et
dans la réserve indienne Lakota de Cheyenne River dans le Dakota du Sud. De nouveaux bureaux ont ouvert dans tous les États-Unis, en Europe et en Asie.
En 1998, la société a lancé un nouveau programme extraordinaire, une croisière de fin d’année, offrant des concepts du cours Wisdom Unlimited de Landmark à bord d’un paquebot de luxe. La croisière populaire a depuis été transformée en un lieu de villégiature haut de gamme.
Le président de l’époque, Clinton, et le ministre du travail Robert Reich écoutent des cadres de Magma Copper à la suite d’une percée dans les relations entre syndicats et patronat conduisant à une performance record.
Les années 1990 ont également vu décoller le Vanto Group de Landmark. En 1998, une étude de cas de la Marshall School of Business USC a détaillé ce qu’avait fait Vanto Group pour améliorer considérablement les performances de New Zealand Steel. Cette étude a poussé des dizaines de sociétés du Fortune 500, des ministères et des organismes à but non lucratif à suivre les formations de Vanto.
Vanto travaille avec des entreprises aussi diverses et renommées que Apple Inc., Banco do Brasil, BHP Billiton, GlaxoSmithKline (Europe), Guidant Corporation, JPMorgan Chase & Co., Lockheed Martin, Mercedes-Benz USA, NASA, Nouvelle-Zélande Steel, Reebok international Ltd., le ministère américain de la santé et des services sociaux, et Walgreens.
Vanto fait réellement bouger les choses. Par exemple, leur travail avec Magma Copper a conduit à un accord décisif sans précédent entre travailleurs et employeurs à la mine de Magma en Arizona. Selon Robert Guadiana, alors directeur de United Steel Workers of America :
Suite au travail avec Vanto (à l’époque LEBD) Magma Copper et leurs syndicats ont créé un accord sans précédent de 15 ans qui comprenait d’importants investissements communautaires, d’énormes augmentations de sécurité et des avancées de production majeures qui ont établi des records.
« Nous sommes entrés dans ce concept d’équipe pour la négociation entre les travailleurs et les employeurs et avons fini avec un contrat créatif et innovant… Cela a donné l’occasion aux gens de se voir différemment eux-mêmes mais aussi de voir la société différemment, de voir leurs collègues différemment et de croire en leurs rêves qu’ils pensaient jusqu’alors impossibles. Les gains de productivité que nous avons réalisés à ce jour sont merveilleux, mais les choses les choses les plus importantes que nous en avons tirées sont l’estime de soi, la confiance en soi et le fait de savoir que nous améliorons notre sécurité de l’emploi. »
Plus de 2000 personnes ont assisté à ce Landmark Forum à Bangkok en Thaïlande.
Dans les années 2000, l’expansion s’est poursuivie dans de nouvelles villes et de nouveaux pays, dont la Roumanie, Beyrouth au Liban; Bangalore et Delhi en Inde; Kingston en Jamaïque; l’Ethiopie; Rome en Italie; Istanbul en Turquie. Sous la direction de feu Jerome Downes, la participation aux programmes de Landmark dans toute l’Asie a considérablement augmenté, y compris à Beijing, Shanghai et Hong
Kong en Chine; Manille aux Philippines; Séoul en Corée du Sud; et Bangkok en Thaïlande. En 2009, le Landmark Forum a eu lieu au Liban. En 2010, le Landmark Forum a été traduit en persan (farsi) pour la première fois, et au cours des dernières années, certains Landmark Forums ont été traduits en vietnamien.
En 2001, Landmark a introduit une convention annuelle, la Conférence pour la Transformation Mondiale, une commission faisant intervenir un éventail de conférenciers, des séances en petits groupes, des documents et des affiches. La
conférence est suivie par des centaines de diplômés Landmark du monde entier.
Dans les années 2000, l’expansion s’est poursuivie dans de nouvelles villes et de nouveaux pays, dont la Roumanie, Beyrouth au Liban; Bangalore et Delhi en Inde; Kingston en Jamaïque; l’Ethiopie; Rome en Italie; Istanbul en Turquie. Sous la direction de feu Jerome Downes, la participation aux programmes de Landmark dans toute l’Asie a considérablement augmenté, y compris à Beijing, Shanghai et Hong Kong en Chine; Manille aux Philippines; Séoul en Corée du Sud; et Bangkok en Thaïlande. En 2009, le Landmark Forum a eu lieu au Liban.
En 2010, le Landmark Forum a été traduit en persan (farsi) pour la première fois, et au cours des dernières années, certains Landmark Forums ont été traduits en vietnamien. En 2001, Landmark a introduit une convention annuelle, la Conférence pour la Transformation Mondiale, une commission faisant intervenir un éventail de conférenciers, des séances en petits groupes, des documents et des affiches. La conférence est suivie par des centaines de diplômés Landmark du monde entier.
La Conférence pour la Transformation Mondiale de 2017 aura lieu du 19 au 21 mai à Monterrey en Californie
Reconnaissance Publique
Dans les années 2000, des histoires positives et fortes au sujet de Landmark ont commencé à apparaître dans les médias. En 2001, le leader de Landmark Forum et directeur de Vanto Group, Steve Zaffron a co-écrit un article paru dans Contemporary Philosophy, “La Promesse et la philosophie du Forum Landmark.” Cet article explique et résume l’idée centrale de Landmark Forum d’une manière jamais vue auparavant :
« Vous devenez conscient de vous-même non pas comme l’ensemble des désirs, des pensées et des actions qui en découlent, mais comme la conscience impersonnelle même. Cette prise de conscience est le contexte de l’être, le contexte dans lequel on peut choisir de vivre. »
En 2003, des avis de journalistes sur le Landmark Forum sont parus dans The Guardian et The London Times.
The Three Laws of Performance a fait partie de la liste des bestsellers du New York Times pendant plusieurs semaines.
En février 2009, le livre The Three Laws of Performance, co-écrit par Steve Zaffron, qui parle de raviver la passion pour accomplir des choses et parvenir au succès, a été publié. Il a été inclus dans plusieurs listes de best-sellers, y compris celles de Business Week, Wall Street Journal, et USA Today, et a également été un best-seller sur Amazon.com.
En avril de cette année, l’émission de télé canadienne « Positive Living » a présenté le Landmark Forum de l’intérieur, en montrant des parties du cours dispensé et mettanten évidence le changement que cela a apporté dans la vie d’un participant.
L’acteur Neal Patrick Harris a reconnu l’impact de Landmark Forum sur sa carrière dans son livre « Choose Your Own Autobiography » publié en 2014.
En 2010, le Landmark Forum a été évalué positivement par le New York Times, et peu de temps après, TIME Magazine a également reconnu la valeur du programme. À la même époque, la star de la télévision, du cinéma et de Broadway, Neil Patrick Harris a fait un commentaire sur l’impact que le Landmark Forum a eu dans sa vie, dans une interview du magazine.
En avril 2011, le co-fondateur de Panda Express, Andrew Cherng s’est exprimé dan ABC Nightline au sujet de l’impact de Landmark Forum sur sa vie et celle de ses employés, et les raisons pour lesquelles il recommande à ces derniers de participer au programme. Le même mois, Dr. Nancy Zapolski, leader de Landmark Forum, et d’autres diplômés des programmes Landmark ont été interviewés dans le Wall Street Journal au sujet de la manière de communiquer efficacement, et en mai 2012, un auteur de Psychology Today a fait l’éloge de Landmark.
Mathew Shurka, diplômé de Landmark Forum a mené le mouvement pour mettre fin à la pratique de la thérapie de conversion des gays.
L’acteur Neal Patrick Harris a reconnu l’impact de Landmark Forum sur sa carrière dans son livre « Choose Your Own Autobiography » publié en 2014.
En 2010, le Landmark Forum a été évalué positivement par le New York Times, et peu de temps après, TIME Magazine a également reconnu la valeur du programme. À la même époque, la star de la télévision, du cinéma et de Broadway, Neil Patrick Harris a fait un commentaire sur l’impact que le Landmark Forum a eu dans sa vie, dans une interview du magazine.
En avril 2011, le co-fondateur de Panda Express, Andrew Cherng s’est exprimé dans ABC Nightline au sujet de l’impact de Landmark Forum sur sa vie et celle de ses employés, et les raisons pour lesquelles il recommande à ces derniers de participer au programme. Le même mois, Dr. Nancy Zapolski, leader de Landmark Forum, et d’autres diplômés des programmes Landmark ont été interviewés dans le Wall Street Journal au sujet de la manière de communiquer efficacement, et en mai 2012, un auteur de Psychology Today a fait l’éloge de Landmark.
En Octobre 2015, un chef de file contre la pratique de la thérapie de conversion gay s’est exprimé dans TIME Magazine et a expliqué comment, après sa participation au Landmark Forum, il a réparé sa relation avec sa famille et s’est réconcilié avec son père.
En novembre dernier, un article a été écrit dans le New York Times au sujet de la vie et des contributions de Werner Erhard, l’homme dont les idées sont à la base desprogrammes de Landmark. Le Times a décrit Landmark comme étant “mainstream”, notant la forte présence de l’entreprise et sa grande disponibilité « sur tous les continents sauf l’Antarctique. »
Une petite partie de la refonte de Landmark concerne son nouveau look et son nouveau nom.
Une grande partie de cette attention médiatique avait lieu alors que Landmark faisait un travail de fond pour remanier l’entreprise en profondeur. En 2007, s’est lancé dans l’entreprise massive de refondre toutes les facettes de son fonctionnement (ses programmes, ses pratiques commerciales, ses installations, ses infrastructures et plus) en faisant la promesse de permettre aux gens d’accéder à ce qui compte le plus pour eux et de fournir une expérience extraordinaire à ses clients.
Les groupes qui représentent tous les aspects de Landmark (ses clients, ses responsables de programmes, ses employés, ses cadres, et même ses clients potentiels) se sont réunis pour étudier les meilleurs moyens d’y parvenir pour tous les aspects de l’entreprise.
Au cours des neuf années écoulées, les chefs d’entreprise ont apporté de nombreux changements dans toute l’entreprise. De nouveaux programmes ont été conçus en se basant sur les meilleures pratiques de service clientèle et sur les dernières avancées en neurosciences. Le programme phare de Landmark, le Landmark Forum, a été repensé en profondeur pour rendre le cours plus cohérent et ajouter des éléments multimédias modernes et une expérience client plus satisfaisante.
Les dirigeants du programme Landmark et les gens qui assistent aux cours Landmark sont constamment formés pour fournir un service extraordinaire dans toutes les interactions. Landmark a également augmenté de façon spectaculaire son engagement avec ses diplômés et avec le public par l’intermédiaire de divers réseaux sociaux, dont plus de 143000 personnes qui suivent maintenant la page Facebook de Landmark.
Dans le cadre de son engagement à rendre ses idées facilement accessibles aux gens du monde entier, Landmark dispose maintenant d’une division de coaching individuel, et certains programmes relatifs à la sagesse sont disponibles en
téléconférence.
Même les locaux de Landmark ont été complètement remaniés, et un grand nombre d’entre eux disposent maintenant d’un espace café moderne, de moniteurs vidéo, de chaises plus confortables et de nouvelles fresques murales.
Un projet SELP appelé ADUNA aide des femmes au Ghana à populariser le fruit du baobab.
Éduquer les enfants pour prévenir les abus sexuels à Bombay; donner des vélos remis à neuf à des personnes dans le besoin dans le New Hampshire; créer une ligne d’aliments sains, socialement responsables qui fournit également des revenus à des femmes en Afrique; ouvrir des jardins d’enfants en Mongolie; créer des événements musicaux pour les personnes sourdes à Amsterdam; planter 5000 jonquilles à New Rochelle, New York – les diplômés Landmark transforment le monde.
Certains de ces diplômés ont été remarqués par les médias et ailleurs pour avoir fait changer les choses, souvent dans le cadre de projets auxquels ils ont participé lors d’une formation Landmark.
À ce jour la campagne RU OK Day a atteint plus de trois quarts de tous les australiens
Les médias australiens, par exemple, ont largement couvert l’événement R U OK?
Day, créé en 2009 par Gavin Larkin. Il s’agit d’une journée nationale de sensibilisation au suicide, parrainée par Hugh Jackman, Naomi Watts et d’autres, et qui a vu le jour suite à la participation de Larkin au programme d’expression de soi et de Leadership Landmark (SELP).
L’engagement de Gashaw Tahir pour limiter la déforestation en Afrique est un autre projet né d’une participation au SELP. En mars 2010, le Département d’Etat des Etats-Unis et les Nations Unies ont reconnu et félicité son travail pour avoir fait planter un million d’arbres à des jeunes.
Plus récemment, le journal DNA India de Mumbai a publié un article complet sur les participants au SELP, décrivant leurs projets et les choses qu’ils font changer dans des domaines tels que l’autonomisation des femmes, le don de sang, et l’alimentation des pauvres.
Les diplômés de Landmark Forum se sont exprimés lors de nombreuses conférences Ted et Tedx dans le monde entier.
Les conférences TED et TEDx sont d’autres événements lors desquels les actions que les diplômés de Landmark font dans le monde ont été mises en avant. Les sujets des projets d’études comprennent, entre autres, la manière de rendre les œuvres de charité et les organismes à but non lucratif plus efficaces, valoriser les femmes et les enfants
malades, éliminer le racisme, renoncer aux secrets, faire preuve de leadership, surmonter la peur, pardonner, et bien d’autres.
De gauche à droite : Jinendra Jain, Ron Zeller, Alan Edelman, Phyllis Allen, Jerome Downes
Certains des dirigeants originaux de Landmark qui ont contribué à la réputation et àvl’influence de la société sont récemment décédés. Jerome Downes qui était à l’origine de la croissance explosive de Landmark en Asie est décédé en décembre 2009, peu de temps après avoir mené le plus grand Forum Landmark de l’histoire de l’entreprise. Phyllis Allen, qui a joué un rôle crucial dans la création de la division Landmark’s Family, est décédé en juillet 2014. Alan Edelman, qui a dirigé le Landmark Forum pour les adultes, les adolescents et les jeunes, est mort en décembre 2014. Jinendra Jain, un des responsable de Landmark Forum depuis la création de Landmark, et responsable des programmes de communication de Landmark, est décédé en juin 2015. Ron Zeller, un des principaux responsables de Landmark Forum et responsables des formations supérieures, est mort récemment en mars 2016.
Le premier quart de siècle de Landmark a donné au monde plus de 55 programmes distincts dispensés dans plus de 125 lieux dans 21 pays, affectant plus de 130000 participants par an. Alors que es programmes de Landmark donnent aux diplômés une nouvelle vitalité, et leur permet d’influencer à leur tour les gens autour d’eux, l’impact
de Landmark continue de se développer. Quelle sera la contribution de Landmark au monde au cours des 25 prochaines années ? Quoi que nous réserve l’avenir, ce sera une création, non pas dérivée du passé de Landmark, mais une entreprise sans précédent, une aventure authentique, conçue dans l’optique d’un futur grand ouvert.
Landmark Forum – Une Diplômée de Landmark Forum Remporte le Prix du Bienfait pour la Société
par Jessica Hartman
La Fondation Mensa pour l’éducation et la recherche a annoncé que sa récompense annuelle pour la contribution intellectuelle pour la société sera attribué à la diplômée de Landmark Forum, Elizabeth Claire, pour son travail au profit de ceux qui apprennent l’anglais comme seconde langue, avec la création d’un journal lu par 140 000 personnes. Dave Remine, président de la Fondation Mensa, a déclaré: « Grâce au travail de Claire, énormément de gens seront en mesure de connaître une croissance économique qui n’aurait peut-être pas été possible autrement. »
Elizabeth a grandi en écoutant ses grands-parents parler dans leur langue slovaque maternelle. Désorientée par la différence de langue entre son monde et le leur, Elizabeth a passé sa vie à faire tomber les barrières entre les langues. Elle a développé ses compétences en devenant professeur d’anglais langue seconde (ALS).
Il y a de nombreuses années, lors d’une conférence à Toronto, elle a découvert un exemplaire de Newscomer’s News, un projet du gouvernement de l’Ontario visant à acclimater les nouveaux arrivants au Canada, et s’est fait la réflexion que quelqu’un devrait publier quelque chose de similaire aux États-Unis.
Vingt ans plus tard, alors qu’elle assistait au programme d’expression de soi et de leadership de Landmark Forum, Claire décida que c’était à elle de s’en charger. Le bulletin d’information a vu le jour dans un appartement exigu du New Jersey et a été financé par un prêt hypothécaire et par l’argent versé par 12 étudiants venus pour des cours particuliers.
Notant qu’il est facile de rendre quelque chose difficile mais qu’il est plus difficile de faciliter quelque chose de difficile, elle se mit à changer la façon dont les immigrants assimilent la langue anglaise et la culture américaine.
Elle a publié un journal gratuit appelé Easy English News à Fort Lee, dans le New Jersey. Avec sa partenaire, Mariko Sasaki, elles espéraient que le bulletin d’information attirerait l’attention des annonceurs. Leur seule rémunération fut des commentaires positifs pendant un certain temps, alors qu’elles livraient des journaux gratuits dans des écoles, des bibliothèques et des épiceries ethniques. Elle monta également une équipe d’élite de membres de Mensa pour vérifier les données et corriger les textes.
L’équipe a fini par vendre des abonnements et assurer la viabilité financière de l’entreprise. Son expérience en tant que diplômée de Landmark Forum lui a permis de surmonter de nombreux obstacles en cours de route. Né d’une simple bonne idée, le journal a prospéré et assure aujourd’hui sa carrière d’écrivaine. Elizabeth attribue le mérite à Landmark Education pour l’avoir aidé à surmonter des problèmes majeurs et mineurs, comme des pannes informatiques, des pertes de données, un coude cassé, les soins palliatifs de sa mère et l’opération de son
propre cancer l’année suivante.
Le journal contient des articles sur la politique américaine, le gouvernement, les héros, l’histoire, la culture et la géographie, rédigés dans un anglais simple. Le site web d’Elizabeth, http://www.elizabethclaire.com, contient des documents destinés aux personnes étudiant l’anglais comme seconde langue. Le tirage est actuellement de plus de 140 000 exemplaires et continue de croître.
Elizabeth s’est créée une nouvelle vie en déménageant l’entreprise à Virginia Beach et en s’installant dans un nouveau monde avec un nouvel amour. Elle affirme qu’elle tient ses promesses d’aider les autres, de créer de l’abondance et de s ‘amuser tout en restant fidèle à sa vraie nature. Tout cela en faisant ce qu’elle aime : écrire.
Vik Maraj, diplômé de Landmark Forum, a récemment été interviewé par le Huffington Post sur ce qu’il faudrait faire pour transformer le secteur à but non lucratif.
Maraj a œuvré pour transformer les organisations et les communautés, en collaboration avec United Way, les Nations Unies, le gouvernement de Dubaï, et bien d’autres. Il est l’auteur d’un discours TEDx sur l’innovation et le changement de donne. Les extraits qui suivent sont issus de l’interview (visitez le site du Huffington Postpour lire toute l’histoire) par Danisha Bhaloo.
Bhaloo : Quel est le défi suprême dans le secteur à but non lucratif ?
Maraj : Nous agissons essentiellement dans un contexte de charité, et non d’autonomisation. Très peu de gens « apprennent à pêcher ». C’est un problème de société, pas seulement une question de profit. Il en va de même dans nos
systèmes d’éducation : on enseigne aux enfants ce qu’ils doivent penser, et non pas comment penser. Ayant fait partie de nombreux groupes dans le secteur à but non lucratif, je constate que, dans la plupart des cas, alors que la vérité est connue et à la vue de tous, rien n’est mis en œuvre. Ce phénomène trop commun est l’éléphant dans la pièce dont personne ne veut parler et est une caractéristique de la nature humaine.
Bhaloo : En ce qui concerne le secteur à but non lucratif, quelle est la vérité dont personne ne veut parler ?
Maraj : Nous sommes en concurrence les uns avec les autres avec un sourire aux lèvres. Nous nous protégeons. Et nous collaborons de manière opportuniste. Le jeu est truqué et ce comportement est presque inévitable. Il est généralement
truqué par une politique gouvernementale vieille de plusieurs décennies. Voilà la vérité de mon point de vue. Ceci étant dit, il faut bien avouer que tous ceux qui travaillent dans ce secteur sont de vrais héros. Le secteur à but non lucratif est la dernière ligne de défense qui sous-tend le tissu social de la société. Sans cesecteur, les limites réelles de nos systèmes politique, éducatif, d’entreprise et de santé, seraient terriblement évidentes. Le secteur à but non lucratif est souvent l’aspect le plus méconnu et le plus noble de presque toutes les cultures.
Dans le même temps, comme pour tous les secteurs de la société, les défis auxquels doit faire face le système à but non lucratif sont historiques, bien établis, et à première vue, au-delà de son contrôle. Certains des défis les plus
évidents sont le manque de financement, le manque de ressources, le manque de bénévoles, le chiffre d’affaires, le manque de valorisation, les salaires plus faibles, le manque de formation et de développement, l’absence de politique, le refus politique, l’économie, etc. Il y en a beaucoup d’autres que je ne ai pas mentionnés et leur point commun est qu’aucun d’entre eux n’est le vrai problème.
Bhaloo : Quel est le vrai problème, et quelle est la réponse ?
Maraj : Le vrai problème est que nous ne collaborons pas et ne mettons pas en commun nos vastes ressources, talents et mandats, afin d’avoir une voix collective. La collaboration est à la fois un état d’esprit et un processus qui nous fait défaut. Nous définissons principalement la collaboration comme « se réunir ». Comme l’un de nos clients l’a si bien dit: « [nous agissons comme] des îles indépendantes qui réduisent progressivement les symptômes ». La quasi-totalité des changements transformateurs a commencé avec une série de petits groupes dirigés par quelques personnes courageuses. Ils se sont réunis pour se dire la vérité les uns aux autres, ont fait de gros efforts pour surmonter leurs différences, puis se sont lancés de tout cœur dans une bataille pour une cause que chacun ne pouvait pas mener seul. La réponse est de passer d’un état d’esprit « toi ou moi » à un état d’esprit « toi et moi », et de cesser de prétendre que nous sommes toujours supérieur aux autres.
Lisez l’article complet sur le Huffington Post (voir le lien ci-dessus), et regardez Maraj s’exprimer ci-dessous au TEDx Vancouver sur les conversations imparables.
M. Mitesh Joshi était d’avis que chaque résident devrait avoir un Tiranga (le drapeau indien) chez lui et devrait être bien informé au sujet du drapeau. Avec quelques-uns de ses amis, Sandeep, Khalid, Vijay, ainsi que son entraîneur, Mitesh a monté un projet nommé « I love my Tiranga », qui s’est ensuite appelé « Run for Tiranga ». Tout a commencé en 2012, quand ils ont distribué 40 000 Tirangas et éduqué les gens au sujet du drapeau. De nombreuses institutions religieuses ont hissé le drapeau et les ont soutenu dans leur cause. Ils ont également reçu des encouragements du Swaminarayan Trust, que l’on retrouve dans le monde entier. Plus tard, plus de 80 000 personnes ont été sensibilisées à l’importance du Tiranga. Ils ont également été mentionnés dans différents médias qui ont relayé leur message avec succès dans tout le pays.
M. Joshi a également mentionné qu’il s’agissait de changer les choses dans la vie de nombreux Indiens. Son équipe a décidé de s’engager pour cette cause réelle et ils ont été soutenus par de nombreux groupes sociaux, ainsi que par des hommes politiques. Son coéquipier – Khalid, ainsi que 5 autres personnes – ont parcouru 1900 km en courant entre la Porte de l’Inde de Bombay et la Porte de l’Inde de New Delhi et ont remis le drapeau au premier ministre. Les ministres principaux de quatre états différents ont participé aux côtés de M. Narendra Modi.
Après la course, ils ont réalisé que les Indiens étaient passionnés par leur pays et qu’ils lui expriment gratitude et respect. Pour finir, les membres de l’équipe ont dit que le programme d’Expression de soi et de Leadership de Landmark Forum a été l’une des plus grandes motivations pour mener à bien ce projet. Ils ont prévu de créer plusieurs courses à travers le pays. Actuellement, ils font un travail de sensibilisation dans l’état du Gujarat, en Inde.
Un programme de radio à Perth, en Australie, a récemment souligné le travail effectué par un groupe de personnes, dont un chef australien talentueux, pour nourrir des personnes dans le besoin, en utilisant des aliments encore bons mais qui sont habituellement jetés.
Cela a commencé comme un projet exceptionnel. Lorsque Bobbi Paidel a voyagé dans le nord de l’Inde en 2014, elle a vu énormément d’enfants qui avaient besoin d’aide. Bobbi a lancé une campagne de crowdfunding afin de récolter 5000 $ pour un projet unique, en collaboration avec des orphelinats locaux pour offrir aux enfants des vêtements d’hiver. Le concept était simple; dons = cadeaux pour les enfants ET cadeaux pour vous. Avec des dons faits à la main en provenance d’Inde, foulards, bijoux et sacs, Phil Haley a voyagé en Inde et est arrivé à la fin du premier projet de Bobbi. Quand il est arrivé dans l’Himalaya où travaillait Bobbi, Phil a passé un jour à travailler sur le projet qui allait changer le cours de sa vie.
Par Diane Borgic, Barbara Castleton, Judi Romaine, Brian Keating, Derek Dearden, et le reste de l’équipe de Landmark News.
Landmark célèbre son 25ème anniversaire et son émergence en tant que l’un des principaux fournisseurs mondiaux de programmes de développement personnel et professionnel. Au cours de ces 25 premières années, le développement, la croissance et la reconnaissance de Landmark ont su convaincre même si cela ne semblait pas gagné d’avance.
Les dirigeants du programme Landmark et les gens qui assistent aux cours Landmark sont constamment formés pour fournir un service extraordinaire dans toutes les interactions. Landmark a également augmenté de façon spectaculaire son engagement avec ses diplômés et avec le public par l’intermédiaire de divers réseaux sociaux, dont plus de 143000 personnes qui suivent maintenant la page Facebook de Landmark.
La Fondation Mensa pour l’éducation et la recherche a annoncé que sa récompense annuelle pour la contribution intellectuelle pour la société sera attribué à la diplômée de 
Vik Maraj, diplômé de